C’est l’histoire d’un homme né dans un village vaudois qui étudia l’agronomie, puis qui commanda une armée contre un empire autoritaire et qui devint l’incarnation de la défense spirituelle de la Suisse.
C’est l’histoire d’un général avec lequel je partage l’origine, la langue et l’accent et qui décida – dans les heures sombres de l’occupation des pays européens – de réunir ses officiers sur la prairie du Grütli et de nous donner une consigne. Une seule consigne : tenir !
C’est l’histoire d’un Vaudois courageux, le général Henri Guisan, qui s’éleva contre un autre Vaudois, Marcel Pilet-Golaz, marqué par le défaitisme ambiant de la classe politique et qui était en 1940 le président de la Confédération. Voilà tout un symbole ! Le chef politique qui face à l’adversité nous propose de nous adapter aux nouveaux maîtres de l’Europe et, en face de lui, le citoyen-soldat qui nous dit, à la suite de Guillaume Tell : résistance !
Mit Wilhelm Tell weigern wir uns, den Hut des Vogts Gessler zu grüssen. Aber mit Wilhelm Tell vereinigen wir uns unter dem Hut von General Guisan!
Pensez en Suisses et agissez en Suisses ! Voilà l’ordre du général Guisan à la population de notre pays. Et à ceux qui, en Suisse, doutaient de la capacité de la Suisse à se défendre, Guisan leur répondait que cette attitude n’était digne ni d’un Suisse, ni d’un soldat.
A la fin de la guerre, Guisan affirmait : « certes, notre peuple ne saurait se dérober aux grands problèmes qui se poseront aux hommes de toutes les nations. Mais, si universels que soient ces problèmes, il y aura toujours – pour les résoudre – une solution suisse. »
Seien wir, meine Liebe Mitglieder und Freunde von Pro Schweiz, die Garanten für die Worte von General Guisan: Es wird immer eine Schweizer Lösung geben!
È nel ricordo del Generale e nello spirito delle sue parole che auguro a voi, cara famiglia di Pro Svizzera, un’Assemblea Generale 2025 di successo! Lunga vita alla Svizzera.